Ces derniers temps, j'ai toujours l'impression d'être pressée: de manger, de cuisiner, de ranger, de prendre la voiture, de téléphoner.... Tout ce que je fais bouscule ce qui suit. A tel point qu'à la fin de la journée, exténuée de m'être battue contre la montre, je n'ai plus de temps pour blogger. Et je me plais à rêver que je suis encore une étudiante, insouciante. Qu'est ce que je faisais de tout ce temps des vacances? J'ai oublié.
mardi 25 octobre 2005
Dare Dare
Ces derniers temps, j'ai toujours l'impression d'être pressée: de manger, de cuisiner, de ranger, de prendre la voiture, de téléphoner.... Tout ce que je fais bouscule ce qui suit. A tel point qu'à la fin de la journée, exténuée de m'être battue contre la montre, je n'ai plus de temps pour blogger. Et je me plais à rêver que je suis encore une étudiante, insouciante. Qu'est ce que je faisais de tout ce temps des vacances? J'ai oublié.
mercredi 19 octobre 2005
...
Photo Vince - Le Collier, Annecy oct 2005 -
lundi 17 octobre 2005
Nada
dimanche 16 octobre 2005
TchiTchaaa
Alors quand on sort, on peaufine son quartier libre. Comme Broken Flowers passait à des heures inacessibles, on s'est rabattu sur "Entre ses mains" d'Anne Fontaine avec Isabelle Carré et Benoit Poelvoorde, un thriller "intime". Absolument Vampirisant, haletant, à cran. En gros, Claire, une jeune femme, mariée, heureuse, agent d'assurances, rencontre Laurent, vétérinaire solitaire et un peu spécial, victime d'un dégât des eaux. De professionnelles, leurs relations basculent peu à peu vers un intime angoissant et vital. Bien que Claire soupçonne Laurent d'être un tueur en série, elle se laisse envoutée par sa personnalité indistincte, mystérieuse et terriblement séduisante.
Je suis allée lire les critiques négatives... Extrait de celle des Cahiers du cinéma: "...un film où les personnes sont des fonctions coincées dans un rêve en chiasme..."........Oui oui, bon, très bien si vous le dites. Déjà y a fallu que je prenne un dico. Chiasme: procédé qui consiste à placer les éléments de deux groupes formant une antithèse dans l'ordre inverse de celui que laisse attendre la symétrie. Ex: un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu... Bin, je comprenais pas mieux où ils voulaient en venir... Au moins, je suis sure d'une chose, c'est que j'achèterais jamais ce magazine qui parle une langue que je ne connais pas.
Rompez
mercredi 12 octobre 2005
Sauve, qui peut
A Lyon, on avait pas de voiture. Marche à pied, transports en commun. Attitude très écolo, je culpabilisais pas du tout pour le sort de la planète, la couche d'ozone et tout et tout, j'éludais crânement ce genre de sujet.
Mais arrivé là, en voiture, il a bien fallu se rattraper.
Un jour je suis descendue aux poubelles. Il y en avait deux sortes.
Une pour le tri sélectif que j'arrivais pas à ouvrir parce que je n'avais pas la clé pour débloquer le capot (déduction faite après quelques piteuses tentatives pour ouvrir le couvercle et bidouiller le semblant de serrure placée sur le devant, tout en regardant dans mon dos).
Une autre, pour le tout-venant, que j'ouvrais bruyament d'une main dans un geste vif et vertical pour jeter, de l'autre, mon sac. Comme je croisais un voisin, je lui demandais "Savez-vous comment on ouvre les poubelles du tri-sélectif?". Lui, sourire ironique pointant à la commissure des lèvres "Vous n'êtes pas d'ici vous?". Non, effectivement. J'étais une martienne au pays du tri sélectif. Il s'est alors avancé négligemment et bêtement à soulever une ridicule PETITE trappe sur le DESSUS du capot. J'étais cramoisie. Vachement intelligents les gens d'ici...
Photo Kate - L'eau du bain, Annecy, Oct 2005 -
Apprentis fermiers
lundi 10 octobre 2005
Au top!
jeudi 6 octobre 2005
Comme au cinéma
mercredi 5 octobre 2005
J'ai encore oublié
Alors j'achète une carte. Je rédige un petit mot. Je pose la carte bien en évidence sur la commode dans l'entrée. Et je me mets la pression pour bien penser à la poster au moins deux jours avant.
Et puis à J-1, piteusement, je me rends compte que la carte est toujours sur la commode à attendre sa future destination heureuse...
Quand on est tête en l'air, on a beau avoir les meilleures intentions du monde, on fête toujours l'anniversaire des uns et des autres avec un temps de retard.